dimanche 28 juin 2009

Repas de Rue






Belle soirée que ce 26 juin 2009, beaucoup de monde et bonne ambiance

mercredi 13 mai 2009

La Médaille


J'ai été très heureux de recevoir la médaille du courage et du dévouement des mains de Madame la Préfète de Tarn et Garonne et en plus ça correspondait pile poil avec mon dernier jour de travail.

samedi 25 avril 2009

La sardine qui a bouché le Vieux-Port


Jean-Nicolas-Paul-François, Vicomte de Barras est né le 30 Juin 1755 à Fox-Amphoux dans le Var. Issu d'une grande famille provençale ( En Provence, rappelait Napoléon, on dit noble comme un Barras ), il ne partage pas les idées de sa caste et s'engage comme cadet dans le régiment du Languedoc dès l'age de 16 ans. En Juin 1776, il est aux Indes en tant qu'officier du régiment de Pondichéry, un régiment d'infanterie de Marine.

C'est lui qui racontera dans ses mémoires une partie de la suite de cette histoire dont la déformation fit tant de tort à l'image de Marseille et dont il fut, bien malgré lui, le témoin.

Capturé par les anglais en 1778 à Pondichéry, Barras bénéficie comme bon nombre de soldats français des accords d'échange de prisonniers alors en vigueur et en mai 1779, il embarque avec d'autres ex-prisonniers en direction de la France sur la frégate la Sartine, baptisée du nom du ministre de la Marine de Louis XVI de 1774 à 1780 , Monsieur de Sartine, comte d'Alby.

Comme il est alors d'usage, la Sartine doit naviguer sous pavillon d'entente, une signalétique particulière équivalent à un sauf-conduit la garantissant contre toute attaque de navire anglais et lui assurant donc la tranquilité du voyage. Les navires de ce type sont en effet des bateaux spécialement commissionnés par les belligérants pour l'échange des prisonniers et ne sont pas armés, mis à part un petit canon permettant l'échange des signaux réglementaires.

Les rares documents dont nous disposons divergent sur un point de détail qui aurait pu éclairer un peu la suite des évènements. En effet, les mémoires de Barras font état d'un commandement par le capitaine Jean Dallest, les archives de la Royal Navy d'un commandement par le capitaine John Dallis. Les deux noms sont assez proches pour que l'on puisse être à peu près certain que l'un est la déformation de l'autre et qu'il s'agit ici de la même personne. Mais Dallis ou Dallest, français ou anglais, il parait difficile de l'établir. Il est en effet tout à fait possible que dans le cadre de l'échange de prisonniers, ce soit un capitaine anglais qui commande un navire français.

Supposons le capitaine anglais :
A-t-il fait une erreur sur le code des pavillons, hissant le pavillon ennemi qui lui était habituel, à savoir le français ? L'erreur est peu crédible ... mais possible.

Supposons le capitaine français :
A-t-il hissé par forfanterie en tête de mat le pavillon français au péril de son bâtiment ? C'est plus probable. Il devait savoir en tout cas quel risque il courait en faisant cela. La règle veut en effet que le pavillon du pays soit plus petit que le pavillon d'entente. Ce qui ne semblait pas être le cas ainsi que le précise le rapport de la commission d'enquête qui examina les faits a posteriori, rapportant l'usage d'un grand pavois.

Le mystère sur la cause de l'erreur reste entier faute d'éléments ... mais la conséquence, elle, est connue.

Le 1er mai, alors qu'après 10 mois de mer sans encombre, la Sartine croise au large du cap Saint Vincent (Cabo de São Vicente) promontoire du Portugal sur l'Atlantique à l'extrémité ouest de l'Algarve, elle est prise à partie par une frégate anglaise de 50 canons, le Romney, commandée par le Capitaine Roddam Home qui lui adresse une première salve.



Le commandant de la Sartine, se rendant compte du danger encouru, fait amener immédiatement le pavillon français, mais pas assez vite pour éviter une deuxième salve de canon. Il est tué dans cet échange ainsi que deux autres soldats et 12 hommes sont blessés.
Le Romney, voyant le pavillon français amené, se rend compte à son tour de la méprise et se porte au secours du bâtiment français. Mais le mal est fait. La Sartine a pris deux bordées dans le flanc et est en piteux état. Le second, Marc-Lazare Roubaud, prend le commandement et la frégate poursuit à vitesse réduite sa route jusqu'à Marseille où elle arrive à l'agonie, le 19 mai 1780, avant de s'échouer dans l'entrée du Vieux-Port.

Barras n'est pas tendre dans ses Mémoires avec le second Roubaud lorsqu'il écrit : "Nous échouâmes à l'entrée du port par la maladresse d'un remplaçant du capitaine Dallest, tué sous le Cap Saint-Vincent." Il n'est pas certain que le capitaine en titre eût fait mieux après une telle mésaventure. Mais Barras ne semble avoir retenu que le ridicule de la situation. Et l'on sent le dépit dans son propos. Peut-être fit-il, un peu plus tard, payer cher aux Marseillais le fait d'avoir transformé cet épisode tragique en farce.

Car l'échouement dans la passe d'entrée, en raison de la taille du bateau et de celle de ses mâts paralysa quelques temps une partie du trafic maritime de la cité phocéenne. L'histoire fit sans doute des gorges chaudes sur la Canebière où on a la langue bien pendue, et on discuta certainement longtemps dans les cafés et sur les quais de cette Sartine, la frégate qui avait bouché l'entrée du port. L'histoire, colportée un peu partout, ne préserva que le coté hâbleur. Gardons toutefois en mémoire que si l'événement eut autant de retentissement, c'est sans doute autant à cause de la déformation du nom du bateau et du bon mot que les Marseillais, par nature si frondeurs, pouvaient faire à propos du Ministre de la Marine. Mais c'est également à cause, à tort, du sentiment d'agression délibérée de la marine anglaise sur un navire français naviguant sous pavillon protégé.

Laissons donc rire les rieurs, qui pensent se moquer des Marseillais en leur rappelant depuis des décennies l'histoire de la Sartine qui a bouché le Vieux-Port.
Nous savons, nous autres Marseillais, que c'est une bel et bien une histoire vraie.

jeudi 16 avril 2009

Le Panier

La place de Lenche, c'est la place la plus ancienne de Marseille, et elle est située sur l’ancienne agora grecque et sur le forum romain, lieu où les citoyens pouvaient surveiller les activités du port.

A l’origine la place était fermée des quatre côtés et c’est au sud qu’au 5ème siècle, Saint-Cassien fonda le couvent des religieuses de Saint-Sauveur faisant ainsi face au monastère de Saint-Victor sur l’autre rive du port.

Pour l'anecdote, au 8ème siècle, ces religieuses se coupèrent le nez pour faire horreur aux Sarrazins et échapper à leur lubricité, elles furent ainsi surnommées "desnarado".

Sous la place, se trouvent les caves Saint-Sauveur, classées Monument Historique en 1840 et qui seraient en fait les citernes de la ville grecque du 3ème siècle avant J.C.

Au 16ème siècle, les activités portuaires et commerciales enrichissent les familles marseillaises qui font construire leurs hôtels particuliers sur ce lieu qui s'appelait encore la place Saint Sauveur.

Le nom de Lenche vient d’une famille corse, Lincio qui au 16ème siècle marqua fortement la place en y installant un atelier de corail, des magasins et en se faisant construire un somptueux hôtel particulier au n°4 de cette place. Ce lieu abrite aujourd'hui le théâtre de Lenche.

Pour un petit historique de l'aventure de cette famille, c'est en 1553, Thomas et Antoine Lenche fondent la Compagnie du Corail pour exploiter le corail sur les côtes d’Algérie, et en 1561 la compagnie fonda le Bastion pour servir de base à ses opérations maritimes et commerciales (établissement qui fut à l’origine de la présence française en Algérie). Devenue l’une des plus riches familles de négociants marseillais, la famille fit par la suite de brillantes alliances qui lui valurent même en 1660 d’accueillir Louis XIV pendant son séjour à Marseille.

Sans être au centre des destructions des vieux quartiers pendant la deuxième guerre mondiale, la partie sud de la place a été démolie durant l’hiver 1943 et des immeubles ont été reconstruits. Des échappées visuelles vers le Vieux-Port ont été ménagées et partout des sculptures témoignent de la vocation portuaire du quartier.

Ornée d'un buste d'Henri Tasso qui fut maire de Marseille de 1935 à 1939, la place, avec ses terrasses de café animées, est un lieu très vivant et très agréable où il fait bon flâner dans l'esprit purement marseillais...

mardi 14 avril 2009

Beaucoup de pluie mais Belle Omelette

Beau week end de Pâques. la pluie était là mais le moral et l'amitié nous a permis de faire une belle fête. Immaginez en regardant ces images.












samedi 4 avril 2009

L'omelette 2009 se prépare




Tous les ans à Pâques Le lundi de Pâques
Le but est de réaliser et distribuer gratuitement une omelette géante (12OOO œufs) le lundi de Pâques.
Pour la petite histoire : Guillaume D'Aquitaine a, dit-on, ouvert cette tradition en offrant, à la période de Pâques, un repas composé d'œufs pour ses vassaux. Il y a 34 ans de cela les habitants de Bessières, petit village au bord du Tarn et plus particulièrement les marchands du village, ont voulu concrétiser cette idée et perpétuer la tradition de l'omelette pascale à Bessières. Ils ont donc confectionné une poêle de 3,5 mètres de diamètre et offert cette omelette à tous les gens présents sur la grande place du village le lundi de Pâques. 25 litres d'huile et 10.000 oeufs

mardi 31 mars 2009

Fort Saint Jean


Faisant face au fort Saint-Nicolas, le fort Saint-Jean est celui de droite en regardant vers la mer à partir du Vieux Port. Et il paraît qu’au moment de leur réaménagement, Louis XIV aurait dit : «Nous avons remarqué que les Marseillais prisaient fort les jolies bastides, nous avons voulu avoir la nôtre à l'entrée de ce grand port». C’était peut-être un chouïa ironique car ces deux forts ont été élevés suite à un soulèvement de Marseille contre la politique du Roi Soleil et les canons sont tournés vers la ville et non pas vers la mer.

Bref, au départ, c'était la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui a été construite à la fin du XIIe siècle et il parait que la Tour Carrée date du XVème siècle et fut édifiée par le célèbre roi René dont elle porte désormais le nom.
Il fut par la suite achevé sous Louis XIV qui reprend aux Hospitaliers la Tour Saint-Jean pour l'inclure dans les remparts élevés en 1666, après le remaniement des fortifications par l'ingénieur Clerville sous les ordres de Vauban.

Aujourd’hui, n’ayant plus de vocation militaire, ce fort abrite des collections de la DRAC, et la ville a le projet d’y adjoindre le MUCEM, avec un nouveau bâtiment qui comportera cinq niveaux et qui s’inscrit dans le très ambitieux projet de la Cité de la Méditerranée qui ira du Fort Saint-Jean à Arenc.

Mais en attendant que ce vaste projet voit le jour, seule la Tour du Roi René est ouverte aux visites du public : sa terrasse offre une vue unique et merveilleuse sur la rade et des expositions y sont organisées régulièrement.
Enfin, adossé au fort Saint-Jean, le Mémorial des Camps de la Mort est installé dans un blockhaus de la Seconde Guerre Mondiale et conserve en sa pénombre le souvenir d'une triste période de souffrance.

13002 Marseille

vendredi 27 mars 2009

JAMIL " les moitiés et je pète au lit "

JAMIL " les moitiés et je pète au lit "
Vidéo envoyée par lomgchamp

Moi j'ai bien aimé:
Jamil " chante les moitiés et je pète au lit "

Procès Colonna : la cour d'Assises d'appel délibère

C'est ce vendredi en fin de journée que la cour d'Assises de Paris rend son verdict sur la culpabilité ou l'innocence d'Yvan Colonna, accusé d'être l'assassin du préfet de Corse Claude Erignac. Les neuf juges de cette instance d'appel se sont retirés pour délibérer. Ils diront s'ils suivent ou non le verdict du premier procès, qui avait condamné le berger de 48 ans à la réclusion criminelle à perpétuité. Une peine maximale encore réclamée jeudi par l'accusation.
En fin de compte, difficile de prendre une vrai décision sur la culpabilité ou l'innocence d'Yvan Colonna.
J'espère que les juges sauront apprécier en leur âme et conscience et ne laisseront pas en prison une personne si il y a le moindre doute.

lundi 9 mars 2009

Mon village (Sollacaro)



Rendu célèbre par Alexandre Dumas qui y écrivit Les frères corses, Sollacaro (Suddacarò en corse) est un village corse typique d'environ 330 habitants niché à flanc de colline, les montagnes verdoyantes à perte de vue, le bleu de la mer à portée de vue.


En plein cœur de la magnifique région du Valinco, la commune se situe dans la basse vallée d'un fleuve côtier, le Taravo (Taravu en corse) où elle s'étend jusqu'à la plaine. Elle se compose de deux entités, Sollacaro et Calvese (Calvesi en corse), et accueille le célèbre site préhistorique de Filitosa, site mégalithique le plus important de l'île (qui regroupe elle-même près de la moitié du patrimoine mégalithique français).


Le village et à 5 minutes d'Olmeto (6 km.), à 15 minutes de Propriano (15 km.), de Porto Pollo (16 km.) et des superbes plages qui bordent le golfe du Valinco (13 km.), à moins de 30 minutes de Sartène (27 km.), "la plus corse des villes corse" (Mérimée), de 50 minutes d'Ajaccio (59 km.) et d'une heure de Bonifacio (78 km.).

Le Vieux-Port

C'est le plus grand port de plaisance de France, les mâts s'entrechoquent par grand mistral, les goélands planent et la poissonnière crie. Un véritable cliché dont on ne se lasse pas. Toute l'histoire de Marseille se concentre dans cette anse. Il faut faire un tour au marché aux poissons, qui se déroule tous les matins sur le quai des Belges.

Fernandel

De son vrai nom Fernand Joseph Désiré Contandin, il est né le 8 mai 1903, dans l'appartement familial situé au 72 du boulevard Chave, grande artère de Marseille, où de nos jours, figure une plaque rappelant cet évènement.

Fernandel - Félicie Aussi

Fernandel - Félicie Aussi


Je ne m'en lasse pas

dimanche 8 mars 2009

Aujourd'hui peut-être, mais sûrement demain

Là je parle pour moi

Aujourd'hui peut-être - michel sardou
Vidéo envoyée par damienmailis

1975

La femme parfaite ( pour la journée de la femme)

La femme parfaite lolllllll
Vidéo envoyée par NumeroOne

LOL (laughing out loud) avec Sophie Marceau

LOL (laughing out loud) avec Sophie Marceau
Vidéo envoyée par ultimteam

Date de sortie : 4 Février 2009

Réalisé par Lisa Azuelos

Avec Sophie Marceau, Christa Theret, Alexandre Astier

LOL ? Ca veut dire Laughing Out Loud - mort de rire - en langage MSN.
C'est aussi comme ça que les amis de Lola l'appellent. Pourtant, le jour de sa rentrée, Lola n'a pas le coeur à rire. Arthur, son copain, la provoque en lui disant qu'il l'a trompée pendant l'été. Et sa bande de potes a le don pour tout compliquer. Tout comme sa mère, Anne, avec qui le dialogue est devenu impossible, et pas seulement parce qu'elle ignore ce que LOL signifie. Que ses parents aient divorcé est une chose. Qu'Anne traite son ado comme une enfant en lui mentant sur l'essentiel, par exemple sur le fait qu'elle revoit son ex en cachette ou qu'elle se fait draguer par un flic, en est une autre. De son côté, Anne se demande ce qui a bien pu arriver à sa douce petite fille. De la fusion à la confusion, les relations mères-filles bouillonnent d'amour et de LOL.

La Journée de la femme


Tous les ans, c'est le même débat. Pour comprendre le sens de cette journée, il faut en rappeler l'origine. L'idée a été lancée en 1910 par une journaliste allemande, Clara Zetkin, alors que des femmes socialistes de tous pays sont réunies à Copenhague pour défendre leurs droits et réclamer le droit de vote.

En 1917 la date du 8 mars est fixée. Après 1945, la Journée internationale de la femme devient une tradition dans le monde entier. Mais il faudra attendre 1977 pour qu'elle soit reconnue par les Nations Unies. En France, c'est le gouvernement socialiste de Pierre Mauroy qui instaure le caractère officiel de la célébration en 1982

samedi 7 mars 2009

Celle-ci est de 2007




Si Bessières est connu dans la région pour la vitalité et la diversité de son marché de plein vent, il doit sa renommée internationale à son « omelette géante » née en 1973 sur l'initiative de l'Association des commerçants et Artisans. Elle est aujourd'hui la plus grande omelette du monde et figure au Guiness des records. C'est à ce grand rendez-vous que la confrérie convie lundi prochain, à Bessières. L'origine de l'omelette Pascale nous vient de l'an 800. A Bessières, comme partout d'ailleurs, cette tradition ancestrale voulait que le Lundi de Pâques, les conscrits fassent le tour des fermes pour recueillir les symboles de fécondité. Ces milliers d'œufs ainsi récoltés étaient ensuite distribués sous forme d'omelette aux pauvres et indigents.

vendredi 6 mars 2009

La petite du jour

Une femme demande à son mari : - Chéri, quel genre de femme préfères-tu ? Les femmes belles ou intelligentes ? - Aucune des deux, ma chérie... Tu sais bien que je n'aime que toi...

Je ne comprendrais jamais


Ce petit Dylan séquestré depuis sa naissance.

Les voisins n'ont rien vu, les services sociaux s'estiment hors de cause (mais il semblerait que les parents n'avaient pas la compétence pour s'occuper de leur enfant). Comment peut-on passer tous les jours près de ses voisins et ne s'appercevoir de rien?

lundi 2 mars 2009

La petite du jour

Une mère dit à son garçon :
- N'oublie pas que nous sommes sur terre pour travailler.
- Bon, alors moi, plus tard je serai marin !

samedi 28 février 2009

Bonjour à tous

Juste un salut pour ce nouveau blog.



http://www.youtube.com/watch?v=qFHbwikzNds